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User:Reader of Information/sandbox/23rd Infantry Division (France)

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Reader of Information/sandbox/23rd Infantry Division
TypeDivision d'Infanterie
RoleInfanterie

The 23rd Infantry Division was an infantry division of the French Army that saw action in World War I and World War II.

Au cours de la Première Guerre mondiale, elle est rattachée au 12e corps d'armée et participe à la plupart des affrontements sur le front de l'Ouest jusqu'en 1917. À partir de novembre 1917, la 23e division est transférée sur le front italien où elle combattra jusqu'à la fin du conflit.

Elle combat ensuite pendant la Seconde Guerre mondiale, jusqu'à sa dissolution après la bataille de France de mai-juin 1940. Recréé à partir d'éléments FFI en mars 1945, elle est finalement dissoute en novembre 1945.

The leaders of the 23rd Infantry Division

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First World War

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Composition during the war

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Organic Posting: 12th Army Corps, from August 1914 to November 1918.

History

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1914

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Départ de Limoges du 78e RI de la 23e DI, le 8 February 1914.
21 août, combat vers Izel.
22 août, engagée dans la Bataille des Ardennes : combats vers Menugoutte.
26 août, arrêt derrière la Meuse, dans la région de Beaumont
27 et 28 août, combats vers Beaumont (Bataille de la Meuse)
À partir du 29, repli sur Quatre-Champs ; puis, le 31, offensive vers le nord, en direction de Neuville-Day : combats dans la région de Voncq.
À partir du 1er septembre, continuation du repli, par Challerange, Tahure et Vitry-le-François, jusque dans la région de Margerie-Hancourt (éléments transportés par V.F.), de Vitry-le-François, dans la région de Braux-le-Grand).
7 au 11, Bataille de Vitry : mouvement vers Saint-Ouen et combats dans la région Sompuis, Humbauville.
À partir du 11, poursuite, par Vésigneul-sur-Coole, Ablancourt et Herpont, jusque vers Minaucourt.
À partir du 23 septembre, violentes attaques françaises, en direction du massif de Berru, vers Cernay-lès-Reims et vers le fort de la Pompelle, puis stabilisation et occupation d’un secteur dans cette région.
  • 1 octobre 1914 – 25 mars 1915 : Retrait du front, mouvement vers Jonchery-sur-Suippe et à partir du 3 octobre, occupation d’un secteur dans la région la ferme des Wacques, la Suippe, étendu à gauche, le 17 octobre, jusqu’au nord de Baconnes[1]: 12, 30 octobre et 25 novembre, attaques françaises au nord de Saint-Hilaire-le-Grand.
Engagée dans la 1st Bataille de Champagne.
21 décembre, violentes attaques françaises au nord-est de Saint-Hilaire-le-Grand et réduction du front, à gauche, jusqu’à la Suippe.

1915

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  • 25 mars – 2 avril : Retrait du front ; repos vers Marson. À partir du 29 mars, transport par V.F. de la région de Vitry-le-François, au nord de Domèvre-en-Haye.
  • 2 avril – 10 juin : Mouvement vers le front.
À partir du 3 avril, engagée dans la 1st Bataille de la Woëvre : attaques françaises vers Regniéville, Remenauville et Fey-en-Haye ; puis, occupation d’un secteur vers Fey-en-Haye et Regniéville-en-Haye[2].
À partir du 10 mai, occupation d’un nouveau secteur entre le bois de Mort Mare et Regniéville-en-Haye, étendu à droite, le 28 mai, jusque vers Fey-en-Haye.
  • 10 juin – 21 juillet : Retrait du front et repos vers Toul.
À partir du 15 juin, transport par V.F., dans la région d’Amiens ; repos dans celle de Rubempré. Puis, le 19 juillet, transport par camions vers le Souich.
  • 21 juillet 1915 – 11 mars 1916 : Mouvement vers le front et, à partir du 26 juillet, occupation d’un secteur entre le nord de Roclincourt et le nord d’Ecurie (guerre de mines). Engagée, à partir du 25 septembre, dans la bataille d'Artois : violents combats vers Ecurie et vers le Labyrinthe ; puis occupation d’un secteur dans cette région :
19 décembre, extension du front, à gauche, jusqu’au sud de Neuville-Saint-Vaast.
23 au 27 janvier 1916, attaques allemandes.

1916

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  • 11 – 30 mars : Retrait du front et transport par V.F. dans la région de Montdidier : repos.
  • 30 mars – 24 juin : Transport par V.F. vers Ligny-en-Barrois, puis transport par camions à Verdun. À partir du 6 avril, engagée dans la Bataille de Verdun, entre la Meuse et le bois d’Haudromont :
9 avril et les jours suivants, combats au ravin de la Dame et aux carrières d’Haudromont.
17 avril, attaques allemandes.
21 mai, attaque française.
25 mai, attaque allemande.
  • 24 juin – 6 juillet : Retrait du front et regroupement vers Saint-Dizier. À partir du 28 juin, transport par V.F. dans la région d’Épernay et repos dans celle de Fère-en-Tardenois.
  • 6 – 22 juillet : Transport par camions vers Soissons, à partir du 10 juillet, occupation d’un secteur vers Soissons et Pernant[3].
  • 22 juillet – 23 septembre : Mouvement de rocade et occupation d’un secteur vers Troyon et Soupir.
  • 23 septembre – 20 octobre : Retrait du front ; repos et instruction vers Ville-en-Tardenois.
  • 20 octobre – 6 novembre : Mouvement vers Crépy-en-Valois. À partir du 2 novembre, transport par V.F. dans la région du Thézy-Glimont ; repos.
  • 6 novembre 1916 – 20 janvier 1917 : Mouvement vers le front, et, à partir du 12 novembre, occupation d’un secteur vers la Maisonnette et le sud de Cléry-sur-Somme[4].

1917

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  • 20 – 30 janvier : Retrait du front ; repos vers Villers-Bretonneux. À partir du 25 janvier, transport par V.F., de Boves, dans la région de Courtisols ; repos.
  • 30 janvier – 25 juillet : Mouvement vers le front ; occupation d’un secteur vers la cote 193 et le chemin de Souain à Sainte-Marie-à-Py : actions offensives locales vers la ferme Navarin.
  • 25 juillet – 12 août : Retrait du front et repos vers Champigneul-Champagne.
  • 12 août – 9 octobre : Mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers la cote 193 et le chemin de Souain à Sainte-Marie-à-Py.
  • 9 octobre – 11 novembre : Retrait du front ; repos vers Ville-en-Tardenois.
  • 11 novembre 1917– 25 janvier 1918 : Transport par V.F. en Italie. À partir du 20 novembre, repos et instruction dans la région de Bussolengo, puis le 3 décembre, dans celle de Vicence, de Sovizzo et de Malo ; travaux, repos et instruction.

1918

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  • 25 janvier – 15 mars : Mouvement vers le front, puis occupation d’un secteur au monte Tomba et vers le Piave.
  • 15 mars – 27 avril : Retrait du front ; repos et instruction vers San Giorgio in Bosco, puis, à partir du 22 mars, dans la région sud de Barbarano Vicentino, enfin, à partir du 5 avril, vers Villalta.
  • 27 avril – 23 juin : Mouvement vers le front et occupation d’un secteur, sur le plateau d’Asiago, vers Capitello-Pennar : le 15 juin, offensive autrichienne du Piave repoussée.
  • 23 juin – 9 août : Retrait du front, stationnement vers Povolaro.
  • 9 août – 27 septembre : Mouvement vers le front et occupation d’un secteur, sur le plateau d’Asiago, vers Capitello-Pennar : nombreux coups de main.
  • 27 septembre – 21 octobre : Retrait du front ; repos vers Povolaro et à partir du 9 octobre, vers Riese.
  • 21 octobre – 4 novembre : Mouvement vers le front. Engagée à partir du 25 octobre, dans la 3e offensive du Piave, franchi le 26, à Pederobba : poursuite à l’est du fleuve, par Cavrera et Villapajera.
  • 4 novembre : Armistice avec l’Autriche-Hongrie. À partir du 6 novembre, stationnement dans la région d’Asolo.

Rattachement

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Affectation organique : 12e corps d'armée d'août 1914 à novembre 1918.

30 mars - 15 juin 1915
29 octobre - 2 novembre 1916
15 juin - 19 juillet 1915
30 mars - 28 juin 1916
22 - 29 octobre 1916
2 août - 19 septembre 1914
7 octobre 1914 - 30 mars 1915
25 janvier - 11 octobre 1917
28 juin - 22 octobre 1916
2 - 11 novembre 1916
21 septembre - 7 octobre 1914
19 juillet 1915 - 30 mars 1916
11 novembre 1916 - 25 janvier 1917
11 octobre 1917 - 11 novembre 1918

L’entre-deux-guerres

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Le maréchal Lyautey passe en revue une garde d'honneur du 126e RI de la 23e DI à Brive-la-Gaillarde le 31/8/1926.

La division reste active dans l'entre-deux-guerres. Son état-major se trouve à Limoges. En août 1939, avant la mobilisation, elle est constituée des régiments suivants[5] :

La Seconde Guerre mondiale

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Composition

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À cette date, la 23e division d'infanterie se compose de[6] :

Historique

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La 23e DI est sous les ordres du général Jeannel à partir de la mobilisation[7]. AU moment de l'attaque allemande du 10 mai 1940, elle est rattachée à la réserve du GQG[8].

Mars-Novembre 1945

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Le 13/3/1945 est créée la division FFI de Gironde, qui est déployée sur le front de l'Atlantique face aux poches de résistance allemandes. Elle est renommée division de marche d'Anselme le 24/4/1945- puis 23e division d'infanterie le 15/5/1945[9].

La division est dissoute, selon les sources, en octobre 1945[10] ou le 30 novembre 1945[9] alors qu'elle est en occupation en Allemagne[10].

Notes et références

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  1. ^ Du 21 octobre au 21 décembre 1914, des éléments de la 91e D.T. sont en secteur vers la ferme des Wacques, à la disposition de la DI.
  2. ^ Du 10 avril au 26 mai 1915, la 45e brigade est mise à la disposition du 31e CA.
  3. ^ Ce secteur n’est tenu que par la 45e brigade sous les ordres du général commandant la DI. Entre le 10 et le 22 juillet, la 46e brigade est tantôt en secteur vers Soupir, tantôt au repos, en réserve d’armée.
  4. ^ Du 22 décembre 1916 au 12 janvier 1917, la 258e brigade (129e DI) est à la disposition de la 23e DI.
  5. ^ GUF vol. 1, p. 32.
  6. ^ GUF vol. 1, p. 297.
  7. ^ GUF vol. 1, p. 316.
  8. ^ Bauer, Eddy (1968). "L'armée française en 1939-1940". Revue suisse d'histoire. 18. doi:10.5169/SEALS-80614. Retrieved 2022-02-13.
  9. ^ a b Marie-Anne Corvisier de Villèle (1998). Inventaire des archives de la Guerre: Série P 1940-1946 (PDF). Château de Vincennes: Service historique de l'Armée de terre. p. 180-181. ISBN 2-86323-114-6. {{cite book}}: Unknown parameter |pages totales= ignored (help)
  10. ^ a b Paul Gaujac (December 1997). "Une victoire amère, juin 1945 - janvier 1946". Militaria magazine: 36–41. {{cite journal}}: Unknown parameter |numéro= ignored (help)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Catégorie:Division d'infanterie de l'Armée de terre française Catégorie:Unité d'infanterie française dissoute